Eclairage et éclairement – La fin de l’obscurité

Tant qu’une ampoule se réduisait à son type de culot et à sa puissance en Watts, il était facile d’éclairer sa maison avec l’unique lustre du plafond. Mais les temps ont changé. Nos prestations vont du choix de la méthode d’éclairage à la réalisation de l’éclairement.

 

Les différents types d’éclairage

Lorsqu’il n’y avait encore que des ampoules à incandescence, l’éclairage était directement lié à la puissance électrique. Aujourd’hui, avec les ampoules à LED, halogènes ou fluorescentes, ce n’est plus le cas. On peut donc maintenant introduire la notion d’efficacité lumineuse en Lumen par Watt (lm/W). La puissance lumineuse s’exprime en Lumen (lm) et la consommation toujours en Watt (W).

L’ampoule à incandescence. Interdite à la vente depuis le 30 décembre 2012 par directive européenne, elle est cependant la référence connue de tous. La lampe halogène. Sur le même principe que l’incandescence, son rendement est cependant 30% supérieur. Il faut noter que la température de l’ampoule s’élève rapidement et dangereusement. L’éclairage fluocompact. Le tube « néon » en fait partie. leur durée de vie est directement liée au nombre d’allumages. Ces ampoules dites « à économies d’énergie » sont connues pour leur temps d’échauffement. De plus, il faut obligatoirement un recyclage en fin de vie car ils contiennent des métaux lourds. Les lampes à LED. Elles durent 40 fois plus longtemps que les incandescentes. Mais elles consomment surtout 10 fois moins. Elles sont également à recycler en fin de vie.

De l’éclairage à l’éclairement

Pour que quelque chose qui ne produit pas de lumière soit visible, il faut l’éclairer. Plus il reçoit de lumière, plus il est clair et distinct. L’éclairement lumineux est donc la quantité de lumière que reçoit un objet fixe. On peut le calculer en fonction de la position, de la puissance et de la direction de la source d’éclairage. L’unité de mesure de l’éclairement est le lux (lx).

Dans chaque pièce, on peut définir la luminosité idéale en fonction des personnes, des tâches effectuées et de la configuration des lieux. Par exemple, dans une pièce de vie regroupant salon, salle à manger et cuisine ouverte, des ambiances lumineuses différentes y apporteront confort et esthétisme.

D’autres facteurs sont à prendre en compte pour calculer l’éclairement. La taille et la forme de la surface à éclairer aident à définir le nombre de points lumineux. La couleur de l’objet aussi, car le noir demande plus de puissance lumineuse que le blanc.